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Alyson J. Barrett

Alyson Barrett
Alyson Barrett
Messages : 4
Date d'inscription : 27/04/2021
Alyson J. Barrett Mar 27 Avr - 21:28



Alyson Jayde Barrett

  • Alys
  • 20 ans
  • Aether
  • Cavalier du Destin sous couverture
  • Américaine
  • Inconnu
  • Inconnue
On me donne ce foutu permis de chasse ou je braconne ?

Physique

Alyson s’en sort plutôt bien, elle aurait pu devenir le véritable cliché américain mais elle a hérité d’on ne sait où la capacité de passe-partout, ce qui a fait d’elle un véritable meme lors de son passage à l’école nationale de police américaine. Blonde aux yeux bleus, féminine malgré une coupe de cheveux à la garçonne, Alyson peut être considéré comme un beau brin de fille mais se voit ôté tout ce qui aurait pu faire «la grandeur des Etats-Unis d’Amérique» : remplacer le bonnet D par un bonnet A avec tout au plus 152 centimètres sans les talons. Un véritable meme donc, en particulier quand on sait de quel genre de famille cette gamine vient. «Gamine» est le terme qui lui colle le mieux, car malgré la vingtaine passée, Alyson fait et reste particulièrement jeune pour son âge, avec un physique plus proche de l’adolescente que de la femme ayant la vingtaine, rentrant facilement dans la catégorie «legit loli». Évitez de lui dire cela, du moins en face, c’est un coup à finir à l’infirmerie, et de son côté, ça lui a déjà valu un blâme.

Car sous cette apparence, Alyson Barrett est une véritable pîle électrique, ce regard sûr prouve une certaine détermination difficile à briser. Très, voir méchamment sportive, la jeune blonde a pour ainsi dire appris à se défendre en même temps que de marcher et si on met de côté les quelques handicaps lié à une taille trop petite, se retrouvait souvent première de sa promotion lors de ses tests concernant ses aptitudes physiques.

Niveau vestimentaire, elle reste dans du classique, visant plus sur le décontracté et pratique en temps normal, en ayant le mérite de savoir s’adapter selon la situation. Elle évitera malgré tout de s’habiller de façon trop sexy, non pas par complexe, mais plutôt pour éviter de devenir ce qu’elle appelle «un aimant à relou». Dans l’ensemble, Alyson reste une personne assez avenante, qui parait au premier coup d’œil plutôt sociale, quand elle arrive à se défaire de ce visage assez sérieux.

Caractère

Ses parents auraient dû choisir «Energyser» comme second prénom, mais à sa naissance ils ont préféré lui donner le prénom de sa grand-mère. Alyson est une femme qui ne tient pas en place, et qui peut même être considéré comme incapable de trouver une certaine stabilité. Elle tient cela de ses parents. Elle se doit d’être toujours active, ce qui expliquerait l’absence de graisses et surtout la quantité de dite graisse qu’elle doit brûlé alors que l’on a affaire à une accro de la mal bouffe qui mange pour deux personnes. L’américaine est très facilement vivable, et peu être la parfaite copine pour le peu que l’on arrive à suivre son train de vie autant joviale que mouvementé. Car s’il y a un point qui ne la différencie pas à son physique, c’est bien celui d’une grande gamine qui ne pense qu’à faire les boutiques, sortir, boire et faire la fête, pour au bout de compte foirer une soirée pour avoir rentrer dans le lard du videur de la boite de nuit après qu’il ait remis en question son âge sur sa carte d’identité.  Une jeune américaine, mais avec du recul, une jeune américaine encore coincée dans l’adolescence qui profitait des fêtes pas toujours regardantes que l’on pouvait trouver dans les campus américains. De sa faute ? Pas totalement, son passage à l’Académie de Police fait que ses supérieurs et instructeurs la prédestinait malgré elle, à la faire rentrer dans les moeurs. Elle avait la tête de l’emploi avec le physique qui allait avec, les capacités sociales, mais ça a déteint sur son comportement, ce qui l’a empêcher de mûrir.

Hormis ce défaut, Alyson est assez spontané, agissant parfois sous le coup de l’émotion en particulier dans les moments critiques qui pourrait tourner au drame, quitte à mettre sa propre vie en danger pour ne serait qu’éviter des dommages collatéraux, quitte à en faire parti. Ce «côté flic» qui ressort doit être génétique, prouvant qu’elle a un certain sens de la justice plus important qu’elle ne le laisse croire et ce malgré, un comportement parfois un peu agressif. Un sens de la justice au point de se croire au dessus des lois ? Et bien, parfois, peut-être, même elle ne sait pas, le problème étant qu’elle reste assez tétus et du milieu dans lequel elle a grandi, l’a rendu parfois assez sceptique concernant les appareils judiciaires et ce, quitte, un jour, à devoir franchir la ligne rouge et se salir les mains le plus discrètement possible. Le fait d’avoir passé quelques années à l’Ecole de Police National et de son expulsion, l’a rendu encore plus pragmatique. Plutôt futée, l’américaine se démarque surtout sur sa capacité improvisation et de débrouillardise, qu’elle couple bien avec sa tchatche, même si elle ne s’est jamais réellement démarquée dans des études trop complexes.

Concernant le surnaturel, le point de vue d’Alyson était comme tout le monde, juste là pour servir de bonne fiction au cinéma. Le problème, elle a été témoin d’un «pétage de plomb» d’un corrompu et à dû remettre en question ce point de vue. Elle a reconnu le danger, à défaut de ne pas avoir reconnu les faits devant le conseil de discipline pour éviter de finir enfermé à l’asile. Elle se sent aussi redevable envers Aether de l’avoir recruter à un moment où elle avait tout perdu, même si elle a parfaitement compris qu’elle n’était que le dindon de la farce de cette histoire.

Histoire

Flic de père en fils, le fait d’être une fille ne chargea rien à la règle, la petite Alyson Jayde Barret n’étant pas la première dans ce cas, et ne sera pas la dernière. Second enfant du shérif de Hays, petite ville se situant dans le Kansas et d’une Marshall, spécialisée dans la protection des témoins, avec une telle ambiance il était inutile de dire qu’Alyson était déjà destinée à suivre cette quasi tradition familiale vieille de plus deux siècles, celle de finir sa vie dans les forces de l’ordre. Une enfance pour ainsi dire unique, mais en somme assez classique malgré le fait qu’un drame pouvait arriver à tout moment à cause d’un parcours professionnel loin d’être de tout repos.

Les Barrett mirent toujours un point d’honneur à savoir se protéger dès le plus jeune âge, l’enfance d’Alyson ne fit pas exception à cette règle. Au 21ème siècle, cela pouvait paraître vieux jeu d’avoir une telle discipline aussi jeune, mais la petite Alyson n’en fut pas moins pas malheureuse puisqu’à ses yeux, ça ne restait qu’une façon de vivre. Les années passant assez vite, elle pouvait même en remercier ses parents: la petite caïd de la Middle school a fini la tête la première dans les toilettes en voulant bizuté cette «sale gosse de flics» et la gamine pouvait suivre assez facilement les épreuves physiques de ses aînés. Ses études les plus importantes sonneront à ses oreilles comme une délivrance, puisque connaissant pour la première fois l’internat, elle goûta aux différentes fêtes typique des campus américains, en découvrant certains travers que pouvait connaître la société. Une enfance épanouie, où le plus grand drame pour Alyson fut d’admettre que son rêve de devenir pilote de chasse dans l’armée américaine, elle pouvait s’asseoir dessus quand elle apprit de son médecin qu’elle ne dépasserait jamais la taille minimal autorisé pour le devenir... Elle finit donc par se résigner à faire ce que les Barrett savait de mieux faire : policier.

Rentrant à l’académie de police dans le Texas, les résultats de la jeune fille furent exemplaire, faisant honneur à sa famille. Souvent première lors des tests d’aptitude physique malgré un gabarie trompeur, Alyson devint un peu malgré elle la coqueluche de sa promotion, une véritable antithèse du flic badass la clope au bec que l’on pouvait voir dans les séries américaines. Si au début, elle le prit assez mal, elle finit par en rire et jouer de cela : il n’y avait pas pire que de monter sur ses grands chevaux dans ce milieu là, y comprit dans le milieu professionnel. Si cela la prédestinait à la faire travailler tôt ou tard dans les moeurs en la faisant passer pour plus jeune qu’elle ne l’était en réalité, le contre-coups fut celui de la coincer psychologiquement dans l’adolescence : on ne continuait pas à fréquenter des jeunes et s’obliger à se comporter comme eux sans craindre les moindres conséquences. En dehors de cela, rien à noter pendant cette période à l’académie.

Avec du recul, Alyson aurait toujours dit que les drames finiraient par arriver dans son entourage. Elle se trompa totalement. Lors du Spring Break et de retour à sa ville natale, il y eut plusieurs drames simultanés à Hays et les localités les plus proches. Alyson fut parmi les appelés alors qu’elle était en repas de famille, et se retrouva sur les lieux où un forcené avait visiblement pété une durite. Comprenant assez facilement qu’un enfant était caché sous le lit là où le forcené avait déjà tué plusieurs personnes, il fut décidé qu’elle, son père et le collègue de ce dernier, se devait d’agir avant l’arriver des renforts. Autant dire que la pauvre Alyson, n’allait pas être au bout de ses peines... L’opération fut à la fois une réussite et un fiasco : l’otage était sauf mais un carnage qui ne pouvait pas passer sous silence.

La réalité ? Allez expliquer dans son rapport qu’un type sans antécédents médicaux , avait pu tuer à main nues trois personnes, et que les deux policiers présents avaient vidé pour ainsi dire toutes leurs munitions parce que la-dite personne se prenait pour Néo de Matrix? Et que tout cela a provoqué la mort d’un policier dans l’exercice de ses fonctions. Si le Shérif ne put que voir qu’approximativement la scène, faisant le tour de la battisse à ce moment là, il avait bien compris que sa fille venait de tomber sur un truc louche, sauf que «les trucs louches basé sur des présomptions» n’avaient pas à figurer dans des rapports. Du côté d’Alyson, comment expliquer qu’un simple forcené valait tout simplement cinq cartouches de fusil de pompe? Rajoutons à cela une autopsie où «le forcené» n’avait aucun drogue dans le sang, et qu’il avait dans son carnet d’adresse le fils du gouverneur local. Si Alyson mentit sous serment devant le conseil de discipline en plus de donner un faux rapport, c’était simplement pour éviter l’asile et qu’au bout du compte, si une tête devait tomber, autant que ça soit la sienne en mettant hors de cause son père.

Le verdict tomba: négligence pendant une opération policière pour avoir été selon les médias, une maniaque de la gâchette (le rapport d’expertise sur le lieu de la fusillade ayant étrangement fini dans les médias qui joua sur les mots en la désignant comme «la forcenée»), avec expulsion immédiate de l’académie de police avant même d’avoir obtenu son diplôme. Malgré un avocat très compétent qui lui avait éviter davantage de pots cassés, Alyson avait été traîné dans la boue. Elle le savait avant même que l’enquête ne commence réellement, d’une certaine manière, elle le savait. Si on mit de côté la cuite monumentale qu’elle se prit les trois jours qui suivirent pour oublier, elle fut soutenue par sa famille.

Fin de l’histoire? Elle ne fit que commencer. Son avocat la recontacta un peu plus tard, lui apprenant qu’il faisait parti d’une organisation nommée Aether. Un rendez-vous eut lieu, avec plusieurs autres personnes pour lui expliquer la face caché de l'iceberg, ce combat ancestrale contre ses entités démoniaques. Si Alyson avait toujours été très terre à terre, elle n’en restait pas moins témoin d’un événement surnaturel. On lui devait quelques explications, et au vu de ses états de services irréprochables (en dehors de cet accident), elle eut le choix de rejoindre cette organisation. De choix... Quel choix ? Elle faisait parti de ses dommages collatéraux, même si elle avait encore une bonne partie de sa vie devant elle pour reconstruire sa vie, elle n’en reste pas moins détruite le temps qu’elle se retrouve une reconversion! Et pourtant, elle savait qu’elle pourrait être utile contre «ses choses», qu’un tel massacre pouvait très bien avoir lieu à tout moment. Et de toute façon, si elle devait se mettre au vert pendant quelques années, autant que ça soit au Japon «à fliquer» des petits jeunes à l’école en mal de sensation et à pourrir les saloperies qui ont foutu sa vie en l’air et prise celle de l’associé de son père!
Ton pseudo est Bscorps
Comment tu nous as trouvé ? : De l'ancien forum
Tes disponibilités ? : 3-4 fois par semaine
Colleen
Admin
Colleen
Messages : 41
Date d'inscription : 08/02/2021
Re: Alyson J. Barrett Mar 27 Avr - 22:10

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Alyson J. Barrett
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